À chaque mois, le CReSP présente ses équipes de recherche qui nous permettent d’avancer vers une vision novatrice de la recherche en santé publique. En octobre, nous vous invitons à mieux connaître le Projet P3A avec Jean-Sébastien Fallu, le laboratoire de Delphine Bosson-Rieutort, le Centre de recherche interdisciplinaire sur la justice intersectionnelle (CRI-JaDE) avec Annie Pullen Sansfaçon en tant que coordinatrice et le projet RHCFORFGC - Sharing actions and strategies for Respectful and equitable Health Care for women with FGC/M dont la coordonatrice est Bilkis Vissandjée.
N’hésitez pas à visiter leurs sites web pour mieux connaître leurs projets de recherche et à leur contacter pour poser des questions et proposer des partenariats!
 de Jean-Sébastien Fallu, chercheur régulier au CReSP et professeur agrégé à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal. Financé par les FRQ, le projet P3A comprend plusieurs initiatives visant à réfléchir collectivement sur l'acceptabilité et l'accès à la thérapie assistée par la psilocybine dans le contexte des soins palliatifs et de fin de vie au Québec. Les résultats du projet se traduiront par des recommandations qui seront présentées aux décideurs afin d’établir les balises du recours du recours à la psilocybine à des fins thérapeutiques qui tiendront compte des perceptions du public et des professionnels de la santé, de l’autonomie des patients et du contexte médico-légal québécois.
Le Centre de recherche interdisciplinaire sur la justice intersectionnelle, la décolonisation et l’équité est un centre de recherche rassemblant des chercheurs et chercheuses, des étudiants et étudiantes ainsi que des professionnels et professionnelles de plusieurs disciplines et horizons se focalisant sur des travaux de recherche traitant d’enjeux d’équité, d’inclusion et de décolonisation.
 biais d’une approche transnationale entre la Belgique, l’Espagne, la France, la Suède, la Suisse et le Canada, ce projet vise à renforcer la prévention et la prise en charge des femmes et des filles à risque ou ayant été touchées par une mutilation génitale féminine/excision (MGF/E). Bilkis Vissandjée, chercheuse au CReSP et professeure titulaire à la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal est la coordinatrice de ce projet.